Paul McCartney by Christopher Sandford

The cute Beatle may not have been quite so cuddly.


Sandford (Keith Richards, 2004, etc.) rejects the idea that among the Beatles, John Lennon was the caustic poet of depth and insight while Paul, though he may have had a knack for good tunes, was more interested in commerce than art. Sandford`s by-the-numbers bio comes up with plenty of evidence to support the idea that McCartney was much more of an innovator than generally credited: He basically invented the concept album, he was an early acolyte of John Cage and he pioneered the use of found sound, tape loops and other avant-garde standards.

This insight alone, however, isn`t sufficient to justify yet another McCartney book. Starting off, rather oddly, with the musician`s 1980 bust for pot in Japan, Sandford then hops back to Liverpool in the 1930s, where Jim McCartney was a local hit as the head of a rollicking dancehall band. Jim`s son Paul quickly caught the bug, and Sandford dutifully follows the flowering of the teenager`s musical partnership with John, from the Cavern in Liverpool to the Hamburg dives, and to the whirlwind of hit singles and psychotic fans that followed. It`s all well-trammeled ground, and the author at times seems more interested in detailing Paul`s prodigious drug use and legendarily lengthy list of bedmates. Once the Beatles fall apart, Sandford maroons readers in the wasteland of pointless solo albums. Ticking off how many millions were earned with each tour, glossing over the mediocrity of McCartney`s more recent output, he builds little foundation for his conclusion that 'we don`t want less of him. We want more.'


Initially thrilling but finally artless, with little for the casual fan.

A paraitre en Angleterre le 12/02/2006

Une excellente bio, il suffit de lire ça pour s'en rendre compte !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Ce type a encore plus de talent que Aurélien Allin !

Merci pour l'information
A lire donc, même en anglais

eric a écrit:A lire donc, même en anglais

Je veux simplement dire que je lis naturellement plus facilement un live en français qu'en anglais même si, concernant desthèmes comme la musique, je comprend généralement bien les ouvrages ou les revues

eric a écrit:Je veux simplement dire que je lis naturellement plus facilement un live en français qu'en anglais même si, concernant desthèmes comme la musique, je comprend généralement bien les ouvrages ou les revues

Non, ça m'a étonné que tu dises ça parce que juste avant, j'étais en train de dire que c'était un torchon
T'as été voir le lien que j'ai posté ?

J'ai été voir le lien que tu indiques et je comprend désormais effectivement mieux ce que tu voulais dire

Quelqu'un a t'il acheté ce livre

Ca vous parait credible cette histoire de liaison entre Paul et Yoko?

Disons que c'est quand meme une période où Paul se tapait tout ce qui bougé...
Donc une histoire de fesses à la sauvette, ça ne m'étonnerait pas tant que ça...

L'article évoque le chiffre de 600 conquêtes. Effectivement c'est honnorable

Quand je pense au nombre de p'tits McCartney qui doivent trainés à gauche à droite...
Finalement il s'en sort bien, il n'a pas eu beaucoup de procés...

Je viens de me l'acheter, je verrais bien comment c'est
Au fait, par contre, la couverture n'est pas celle indiquée sur ce topic, finalement ils ont utilisé une photo mettant un peu plus macca en valeur

Tu l'as acheté où?
Moi je cherche le livre de Geoff Emerick, quelqu'un l'aurait vu sur Paris

Wingspan a écrit:Tu l'as acheté où?
Moi je cherche le livre de Geoff Emerick, quelqu'un l'aurait vu sur Paris

Je l'ai pris à WHSmith à Paris, il n'y avait que celui la d'ailleurs.
J'ai pas vu le livre de Geoff, mais j'ai pas trop cherché non plus en fait Celà dit ça doit être intéressant.

C'est bien ce qu'il me semblait, il va falloir que je fasse un tour au WHSmith bientot...
Celui d'Emerick a l'air vraiment interessant...
Dommage qu'il ne se focalise pas plus sur la carrière solo de Macca.
Je suis sur qu'il y aurait plein de choses a apprendre...

Je vais régulièrement à WHSMITH
Outre l'intérêt du lieu, je signale que les vendeurs ont trois qualités: ils sont disponibles et sympas (bref, on n'est pas à la Fnac), ils passent des commandes et respectent les délais très courts qu'ils indiquent et ils mettent de côté les revues que vous réservez (style, un numéro spécial...)
Une excellente adresse

Je ne savais pas qu'ils pouvaient mettre de coté....
Merci Eric

Moi j'y suis allé qu'une fois en passant (j'habite loins de Paris tout de même ), mais j'ai trouvé ça sympa, digne des petites librairies, où t'as des vendeurs intéressés, qui cherchent à te conseiller, c'est hyper agréable et ça donne envie d'acheter !
ça doit être sympa d'avoir ça à côté (enfin, même relativement) de chez soi en tout cas !