MOJO: Paul McCartney "Comment j'ai survecu... aux Beatles"

[Wingspan]

Paul McCartney sera en couverture du prochain Mojo.
23 pages spéciales Macca & Beatles. Avec une interview exclusive

FREE CD! LET IT BE REVISITED: The Beatles’ final album from 1970 re-interpreted exclusively for MOJO by Beth Orton, Phosphorescent, Judy Collins, Wilko Johnson, Pete Molinari, The Amorphous Androgynous, The Besnard Lakes, John Grant, The Jim Jones Revue and more. ALSO

PAUL McCARTNEY: Follow that! What to do after The Beatles? For Paul McCartney it meant boozing, battling, then rebuilding and rediscovery in the playful freedom of Wings and the arms of Linda. “I survived,” he tells Tom Doyle.

THE BEATLES: 1970 and all that. As part of MOJO’s 23-page Beatles and McCartney Special, Jon Savage puts Let It Be under the microscope and Mark Paytress returns to the corridors of Apple Corps.

[ArtiGussy]

Tiens j'ai pécho ça aussi...!


Exclusive Macca Interview!

9:30 AM GMT 24/08/2010

Paul McCartney has revealed how Beatles drummer Ringo Starr delivered him a letter in March 1970, co-signed by George Harrison and John Lennon, asking him to postpone the release of his solo debut album so it wouldn't clash with the scheduled emergence of climactic Beatle release, Let It Be.

Into an atmosphere of mounting mistrust between the still technically united Beatles, Ringo's missive dropped like an H-bomb.

"I told him top eff off," Macca reveals to MOJO's Tom Doyle, as he sketches out his state of mind at the fag end of The Beatles' reign, belaboured by anxiety attacks, heavy drinking and marijuana sessions. "He seems to be going strange," said Ringo at the time. "Everyone was completely treating me like dirt," says McCartney today.

In an exclusive interview, McCartney explains how he emerged from 1970's Beatle miasma to embark on a solo career - honoured with an extensive reissue campaign this autumn. "I took to the booze," says McCartney. "I was trying to recover in whatever way I could."

Taking us back in time to the spare room at his Cavendish Avenue flat, he revisits the pioneering lo-fi recordings of his debut solo record, McCartney, and the sequestered Scottish genesis of Ram, culminating in the hairy tale of Wings 1973 album Band On The Run, recorded in Lagos, Nigeria.

Flying across the jungle at the beginning of the latter adventure, the singer recalls a hot debate concerning the exact position of the landing strip. "One [pilot] looked to the other and said, 'Is that it down there?" I'm going, Oh my God, they must know."

Unsurprisingly, Macca sums up the nub of his post-Beatle career thus: "Hey, I survived."

[Wingspan]

[Paul-Giving-me-Wings]

Je ne comprend pas poursquoi il y'a la vierge sur la pochette de Let it be sur le magazine, il parle de sa mère dans la chanson non ?

[ArtiGussy]

Parce que c'est une analogie..."Mother Mary"...la vierge Marie ou sa mère Mary...chacun y met ce qu'il veut...

[Whatelsem]

Vous pouvez traduire l'anglais parce que i don't understand !

[Paul McC]

D'où la force, l'intelligence et la beauté des paroles écrites par Paul, et John

[Wingspan]

Vous pouvez traduire l'anglais parce que i don't understand !

Justement il nous manque un traducteur sur le forum, si quelqu'un est intéressé par le poste, qu'il se manifeste

[Uncle Albert]

L'article posté par Arti

Paul McCartney a révélé comment Ringo Starr, le batteur des Beatles, lui remis une lettre, co-signée par Lennon et Harrison, en mars 70, lui demandant de repousser la sortie de son premier album solo afin de ne pas entrer en conflit avec celle du dernier album des Beatles Let It Be.

Dans le climat de mésentente grandissante au sein de ce qui était encore techniquement l'entité Beatles, la lettre fit l'effet d'une bombe.

"Je lui ai dit d'aller se faire foutre" révèle McCartney à Tom Doyle du journal MOJO, revenant sur l'insupportable période de la fin des Beatles et son état d'esprit de l'époque composé d'anxiété, d'abus de boisson et de joint. "Il se comporte bizarrement" avait l'habitude de dire Ringo. "Ils me traitaient tous comme une merde" dit McCartney aujourd'hui.

Dans une interview exclusive, Mccartney explique comment il emergea de l'atmosphère polluée des Beatles en 70 pour entamer une carrière solo - carrière honorée par des rééditions exclusives cet automne. "J'ai picolé comme un trou" dit McCartney, "J'essayais de me remettre par tous les moyens".

Nous faisant visiter son appartement de Cavendish, il revient sur l'enregistrement Low-Fi de son premier album solo, McCartney, sur l'enfermement écossais qui donna naissance à RAM et sur l'hasardeuse histoire de Band on The Run, enregistré par Wings en 1973 à Lagos Nigeria.

Ainsi, volant au-dessus de la jungle lors de cette dernière aventure, le chanteur se rappelle d'un débat sans fin concernant la position exacte de la piste d'atterrissage :
"Un pilote regarde l'autre et dit, "est-ce que c'est ça ? En-dessous ?" et je pense O mon Dieu Faites qu'ils sachent !"

Sans surprise, Macca résume l'essentiel de sa carrière post-Beatles ainsi : "Hey ! J'ai survécu !!!"

Je viens d'aller l'acheter, j'allais poster pour vous en parler, heureusement qu'il y a un moteur de recherche qui me permet de ne pas faire de doublon et de constater que j'étais le seul à ne pas l'avoir encore J'ai pas encore lu bien sûr, pour l'instant j'écoute le disque qui n'est déjà pas à mon avis le meilleur de la série "revisited", la palme d'or restant à mon goût The Beatles et Abbey Road. En revanche je l'ai carrément mauvaise de savoir que l'édition avec vinyl n'est dispo qu'en angleterre !!!!

Pour la traduction, elle est arrangée un petit peu, j'ai par exemple modifié les taking us back in time par nous faisant visiter, c'est pas le même sens c'est vrai mais il y a quand même des formules typiquement anglo-saxone qui deviennent pompeuse en français... D'ailleurs je conseille la lecture des textes de Lou Reed traduit chez 10/18 il y a quelques années avec des morceaux de bravoure de traduction sans une quelconque once de recherche qui donnait des trucs du style : Marcher du côté sauvage de la rue. Je crois que c'est le livre le plus drôle que j'ai jamais lu...

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