Paul au Grammy... Les résultats...

Et puis il l'a eu en 1990 son grammy alors qu'il nous embête plus hein !

...

Je cherche...

Par contre, un truc incroyable, c'est qu'il avait des cheveux drôlement gras aux grammy, il aurait pu se faire un shampoing avant de venir quand même !

POUR WINGSPAN ( et les autres ... :DD )





J'ai pas pu trouver mieux .... :oops:

Yes mec, t'es un chef
(il s'est fait tirer la tronche bruce ou c'est moi qui délire...?)

Ouais je sais !!!!!!!!!!


( Le mec ki se la pète, mort de rire )

Euh, sinon, j'ai regardé la rediff des Grammys, là, sur W9, et ben oula !
entre gyneco et l'autre gourde qui n'arrêtent pas de parler, et W9 et sa pub !
Génial la France !!!
J'ai adoré l'introduction de Ellen Degeneres pour Paul

Wingspan a écrit:Parcontre ce qui est vrai, c'est que Paul dégouté du fait de repartir bredouille, s'est empressé de rentrer à l'hotel, pour mettre son chapeau, ses lunettes et se fumer un p'tit spleef...
La preuve en image:

Chuttt!!! Ne dites rien à Heather...

Il n'aurait pas piqué le chapeau que John mettais dans les seventies

Malgré les stars et les paillettes, les Grammys Awards voient leur influence s'éroder alors qu'arrive à maturité une génération marquée par l'internet et dont le comportement vis-à-vis de la musique est radicalement différent de celui de ses aînés.

Grand rendez-vous musical télévisé aux Etats-Unis, la cérémonie de mercredi présentait une affiche alléchante: Madonna, en pleine forme à 47 ans, des légendes de la musique comme Paul McCartney et de talentueux débutants tels John Legend, parmi des dizaines d'autres artistes de renom.

Mais la publication des scores d'audience, le lendemain, a fait l'effet d'une douche froide: la soirée retransmise sur CBS a rassemblé en moyenne 17 millions de téléspectateurs, moins que l'émission de télé-réalité "American Idol" diffusée au même moment par Fox, et qui vise le même public friand de musique.

Ce résultat, une baisse de 10% par rapport à l'édition 2005, est le plus faible pour les Grammys depuis que l'audience a commencé à être mesurée en 1977. En 1984, plus de 50 millions de personnes avaient regardé la cérémonie, avec en vedette un Michael Jackson au sommet de sa gloire.

Cette désaffection est aussi un signal d'alarme pour les maisons de disques, qui comptent beaucoup sur ce marathon de 3 heures et demie pour faire connaître leurs poulains au plus grand nombre, souligne Jerry Del Colliano, spécialiste de l'industrie musicale et professeur à l'Université de Californie du sud (USC).

Selon lui, "on ne peut pas regarder les Grammys sans penser à la détresse de l'industrie musicale, qui a beaucoup de mal à trouver son marché", alors que la génération ayant grandi avec l'Internet commence à avoir les moyens de consommer.

"Celle que l'on appelle la génération Y, qui a toujours eu accès à l'Internet pour acheter de la musique, voire la voler, possède ses communautés virtuelles" et n'est plus aussi sensible que ses aînés à l'influence des émissions de variété, explique M. Del Colliano.

Exemple de cette tendance, "MySpace.com", un site revendiquant plusieurs dizaines de millions d'utilisateurs qui permet aux internautes de partager leurs avis et leurs passions, notamment sur tel ou tel groupe de musique.

Le développement exponentiel de ce genre de sites, des bloc-notes en ligne ("blogs") et des forums est en train de donner naissance à une culture propre, qui ignore les circuits classiques du marketing et de la publicité, note l'universitaire.

Ainsi, les Anglais d'"Arctic Monkeys" et les Américains de "Clap your hands say yeah", deux révélations de 2005, se sont faits connaître avant même d'avoir signé avec une maison de disques, en bénéficiant du bouche à oreille des internautes.

"Je pense que les jeunes d'aujourd'hui préfèrent définir eux-mêmes leur culture musicale", souligne pour sa part David Stewart, professeur de marketing à l'USC et spécialiste du comportement des consommateurs.

"La façon traditionnelle de faire connaître un groupe, de le faire passer à la radio et aux Grammys ne fonctionne plus à l'âge de l'internet, des mp3 et de l'iPod", le populaire baladeur numérique, explique-t-il.

Selon la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI), 420 millions de chansons ont été téléchargées légalement dans le monde en 2005, et même si la part de marché du numérique n'était encore que de 6%, elle a doublé en deux ans. Il se vend actuellement 100 iPod... par minute.

Le numérique a aussi provoqué une dispersion de la demande, les consommateurs n'étant plus obligés d'acheter un disque entier, remarque le professeur Stewart: "A l'époque des Beatles, les jeunes achetaient des disques pour l'artiste. Aujourd'hui, ils achètent simplement de la musique".

D'accord avec vous tous, l'important n'était pas qu'il obtienne une énième récompense mais qu'il interprète ses chansons